Pour son troisième Dialogue, Alaïa présente six variantes distinctes du Teckel avec six des plus grandes galeries de design parisiennes.
Ce Dialogue témoigne de la manière dont ce nouveau sac emblématique conçu par Pieter Mulier, directeur artistique, est étroitement lié au langage du design.
Capturés par Katja Rahlwes, photographe de mode allemande basée à Paris, chaque Teckel est placé à proximité de pièces de design uniques dans six galeries : Galerie Jacques Lacoste, Galerie Kiyama, Galerie Kreo, Galerie Maxime Flatry, Galerie Patrick Seguin, Galerie Vallois, pour un dialogue entre forme, fonction et art.
À la galerie Jacques Lacoste, Le Teckel forme un ensemble avec la Table Forme Libre (vers 1956) de Charlotte Pierrant et un vase de 1955 de Valentine Schlegel.
Katja Rahlwes
À la galerie Kiyama, il dialogue avec deux vases (vers 1945) de Tanabe Chikuunsai II.
Katja Rahlwes
À la galerie Kreo, il repose sur une table basse de 2024 de Ronan Bouroullec.
Katja Rahlwes
À la galerie Maxime Flatry, il épouse les lignes modernistes d’une table à manger de 1931 de Michel Dufet.
Katja Rahlwes
À la galerie Patrick Seguin, Le Teckel est exposé sur la Table SAM Tropique No. 503 (1951) de Jean Prouvé.
Katja Rahlwes
À la galerie Vallois, il dialogue avec un canapé (vers 1922) de Pierre Chareau.
Katja Rahlwes
Le Teckel apparaît non seulement comme un accessoire fonctionnel intemporel qui incarne le savoir-faire exceptionnel d’Alaïa, le compagnon du quotidien de la femme, mais surtout comme un objet à part entière.
Alaïa
©
